Nos engagements
Réduire l’impact carbone du secteur de la construction
Le secteur du bâtiment représente
44 % de l'énergie consommée en France.
75 % du Co2 est émis pendant la phase de construction *
Face à ce constat, il est impératif de changer nos modes constructifs.
En offrant une solution d'isolation biosourcée, Copano s'engage à contribuer activement à la transition énergétique en cours du secteur de la construction.
La réduction de l'impact carbone du secteur passe à la fois par la rénovation énergétique des bâtiments existants et les changements de pratique en construction neuve.
La paille est une matière première abondante** qui est naturellement décarbonée. En stockant le carbone de l'atmosphère sur sa tige lors de sa croissance, cet isolant est un vrai puit de carbone indispensable pour faire face au dérèglement climatique.
Cette matière est disponible localement sur tout le territoire ce qui favorise les circuits courts. Copano s'engage à réduire ses émissions de Co2 en minimisant le transport de la matière.
Faciliter la mise en œuvre de solutions biosourcées pour généraliser leur usage
Les panneaux sont adaptés à des détails constructifs complexes et leurs dimensions peuvent varier pour s'adapter à différentes contraintes et différents usages : isolation thermique intérieure et extérieure, sous planchers, cloisons acoustiques, sarking…
Adaptés aux habitudes des professionnels du bâtiment, ils sont faciles à découper, rapides à poser, et peuvent être directement recouverts d’un enduit naturel à l’argile ou à la chaux.
Sans tassement dans le temps, perméables à la vapeur d’eau, résistants à la compression tout en restant souples à la mise en œuvre, ils sont parfaitement adaptés à la rénovation énergétique du bâti ancien.
Développer un modèle de fabrique locale, low-tech, sobre et vertueux, à la rencontre entre agriculture et construction.
Le processus de fabrication Copano n’utilise aucune colle ( contre 10 à 15 % chez les fabricants actuels de panneaux à base de laines végétales).
La paille est pressée et cousue à froid et à sec, via un procédé sobre en consommation énergétique.
La technique repose sur un savoir faire spécifique, entre machinerie agricole et filature industrielle, où le travail humain reste essentiel dans le processus de fabrication, depuis le champ jusqu’au chantier.